Et si réserver autrement vous offrait bien plus ?
« Mais Booking, c’est simple et rapide… pourquoi m’en passer ? »
Parce que la simplicité a un prix… souvent invisible.
Les plateformes comme Booking prélèvent 15 à 25% de commission sur chaque réservation. Cet argent ne va pas à l’hôtel, au gîte ou au lodge que vous aimez… mais à un géant du web, souvent étranger à la destination.
« Et si j’ai un problème sur place ? »
Booking est un intermédiaire, pas un hôte.
En cas de souci, vous vous retrouvez souvent face à un service client délocalisé, avec peu de marge de manœuvre. Réserver en direct, c’est parler à la bonne personne, celle qui peut vraiment résoudre votre problème.
« Mais il y a plus de choix sur Booking… non ? »
Faux.
La plupart des hébergements sont visibles ailleurs, souvent à meilleur prix en direct. Certains ne proposent même pas toutes leurs chambres sur Booking pour éviter les commissions excessives.
« Booking me garantit le meilleur prix… »
Seulement sur le papier.
En réalité, les commissions font grimper les prix affichés.
En direct, l’hébergeur peut vous offrir un tarif préférentiel, des services supplémentaires… ou juste un accueil plus chaleureux, car vous avez choisi de ne pas enrichir un intermédiaire.
« Et pour la destination, qu’est-ce que ça change ? »
Énormément.
Réserver en direct, c’est injecter immédiatement de la valeur dans l’économie locale. Cet argent sert à améliorer les infrastructures, à embaucher, à préserver le lieu… plutôt qu’à nourrir un siège social lointain.
Dire non à Booking, ce n’est pas se compliquer la vie : c’est reprendre la main sur vos réservations, soutenir directement les hébergeurs, et voyager avec plus de sens.
Chez Directravel, nous travaillons main dans la main avec des acteurs locaux, pour que chaque nuitée compte… pour vous et pour la destination. Nous ne sommes pas des intermédiaires, nous sommes des facilitateurs, nous aidons à la rencontre entre vous, voyageurs, et les concepteurs de voyage qui s’engagent au quotidien pour construire le voyage de demain.
